Cette excellente performance révèle le travail accompli ces dernières années en France pour développer l’économie numérique, l’attractivité et le gisement exceptionnel de compétence de notre pays dans ce domaine. A noter également que ce résultat reflète un taux de croissance plus rapide que la moyenne européenne.
Mais il y a une seconde raison de se réjouir…
Si au niveau européen, les secteurs du logiciel et du cloud sont les plus représentés, suivis des fintech puis de l’e-commerce, les fintech se situent en tête du classement français. Alan, Ledger (entrée), Luko (entrée), Lydia, Payfit, Qonto, Shift Technology, Swile : 8 des 21 scale-up tricolores figurant dans le “Top 100 next unicorns” sont des fintech, représentant près de 40% de la sélection.

Cette forte présence de notre secteur dans le classement fait écho à sa place dans l’indice Next40 (premier secteur) et FrenchTech120 (deuxième) confirmant sa bonne santé et sa croissance rapide. (Le secteur de la fintech en bonne position dans le French Tech 120 et le Next 40)
Cette dernière s’est d’ailleurs traduite par une vive augmentation des montants levés en 2020 (828,2M€) soit +18,5%, performance d’autant plus remarquable que dans le même temps la moyenne européenne s’établissait à -8,5%. La tendance semble se confirmer en 2021 avec un montant levé au premier trimestre (383,2M€) équivalent à 46,2% du total 2020. (Barometres)
L’écosystème fintech français connaît actuellement une forte accélération et devrait nous offrir plusieurs nouvelles licornes dans les mois à venir.
La France est parfaitement en capacité de créer des champions de rang mondial, comme le développait
Maurice Lévy lors de la dernière édition de notre événement annuel Fintech R:evolution Beyønd frontiers :
#FFT20 : [Master Stage] Comment créer un champion mondial depuis la France